Henri de Régnier – Réveil | |
Si
le pavage est rouge et si le mur est blanc, Sois
heureux. L'aube est claire. Une treille suspend Lève-toi,
les pieds nus, pour ouvrir la fenêtre. Écoute ! Un arrosoir, là-bas, heurte une bêche, |
|
Henri
de Régnier, « Réveil », in Les Médailles
d'argile (1900) |