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Nous n'avons pas les yeux
à l'épreuve des belles

Jean de La Fontaine

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Je veux dédier ce poème
À toutes les femmes qu’on aime
Pendant quelques instants secrets,
À celles qu’on connaît à peine,
Qu’un destin différent entraîne
Et qu’on ne retrouve jamais.


Georges Brassens / Antoine Pol, Les passantes
 

Chère Madame, ne me dites plus que vous êtes, dans votre oisiveté, un être inutile. Promenez-vous souvent dans les rues pleines de monde. Parce que vous êtes gracieuse et belle, vous aurez l'utilité suprême : vous entretiendrez dans l'âme du passant le goût de la vie.

Henri Roorda (La Tribune de Lausanne, 15/07/1917)

 
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