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Contre l'écriture inclusive : un manifeste

 
   

Les femmes sont des hommes comme tout le monde (et vice-versa !). C'est ce que n'ont pas compris les tenants d'un charabia pompeusement baptisé « écriture inclusive » ; ils ne se rendent pas compte que ladite écriture, en mettant pesamment et constamment en relief la différence des sexes, ne fait que discriminer et surtout infantiliser les femmes qui n'ont que faire de ce hochet paternaliste et condescendant.

Lâchez-nous donc les baskets avec votre écriture incucuclusive à la con, qui complique tout et ne résout rien !

 
   
M.-A. Oberholzer, 29 mars 2021
[mis à jour le 9 mai 2022]
 
       
       
   
Ne dites plus écriture « inclusive », mais écriture « incucuclusive »...
 
    Pour protéger notre belle langue française du chancre insidieux de l’écriture inclusive, la mise en place d’un cordon sanitaire me paraît de plus en plus nécessaire. Certes, il faudrait pouvoir éduquer, légiférer, interdire… mais ces moyens sont lourds et fastidieux à mettre en place. Or, dans l’arsenal des armes possibles pour mener ce combat, il en est une qui ne coûte rien et qui, bien utilisée, peut se montrer d’une redoutable efficacité : l’ironie !

Fort de cette certitude, je voudrais offrir un néologisme à consommer sans modération par toutes les personnes à qui l’écriture inclusive donne de l’urticaire : dès à présent, ne dites plus écriture « inclusive », mais écriture « incucuclusive ». Cet adjectif, inspiré de l’expression « cucul la praline », me semble un parfait raccourci pour dénoncer la niaiserie de cette nouvelle mode qui pourrait finir par s’imposer si l’on n’y met le holà…

 
   
M.-A. Oberholzer, 17 novembre 2022
[mis à jour le 21 juin 2023
 
       
       

Liens vers divers articles :
 
   
21.06.2023
Tribune de Genève du 21 juin 2023, Opinion — Jean Romain : « L'imposture conceptuelle »
   
24.03.2021
Journal GHI, Michèle Roullet – « L'écriture inclusive doit être abolie »(pdf 233 ko)
   
23.03.2021
Journal Le Courrier, lettre d'une lectrice (« Je ne souhaite pas être éduquée »)
   
15.03.2021
Ma lettre de prostestation et de désabonnement au journal LE COURRIER